« (…) la couleur (…) la langue qui convient le mieux aux
sentiments de l’âme. (…) ces sentiments qu’elle traduit sont
ceux d’une âme tout attachée au sensible ; ce qu’elle exprime,
c’est la rêverie voluptueuse, c’est la fureur guerrière, c’est
l’ivresse d’un triomphe, c’est l’orgueil du faste, c’est la vaine
tristesse, l’angoisse, le désespoir, ou la brisure des sanglots (…) »

Raymond Réganey,
Eugêne Delacroix,
« L’époque de la chapelle Saints-Anges » (1847-1863)

Importants pourtant dans mon évolution, ces premiers dessins, et
ces premières peintures, ne sont qu’étapes supplémentaires pour
être arrivée là où j’en suis aujourd’hui, bien que ce soit un chemin,
où l’horizon est invisible, je me sens, maintenant, plus proche de quelque chose que je souhaite réellement, qu’en ce début d’année.